Publié le Juin 27, 2023Mis à jour le Octobre 15, 2024
Découvrez l'aura cinégénique de Monte-Carlo, un lieu mythique qui a inspiré les plus grands architectes et attiré les stars les plus en vue. Des chefs-d'œuvre Belle Époque aux films emblématiques des années 1950, plongez dans l'univers captivant de ce cadre enchanteur.
Photo : Le long-métrage Les hommes épousent les brunes tourné en 1954, qui appartient à l’âge d’or du cinéma hollywoodien, nous embarque sur la place du Casino de Monte-Carlo pour retrouver la sublime Jane Russell et assister à un spectacle musical à l’Opéra Garnier.
Monte-Carlo, un lieu emblématique qui allie glamour, architecture magnifique et cinéma. Depuis ses débuts, Monte-Carlo a su séduire les esprits créatifs notamment ceux des réalisateurs visionnaires qui ont succombé au charme de ce lieu envoûtant, transformant ses rues pavées et ses bâtiments majestueux en décors de cinéma inoubliables.
Photo : Les hommes épousent les brunes porte à l’écran la très charismatique Jeanne Crain. Ce film a été tourné en réponse au célèbre film Les hommes préfèrent les blondes - les deux sont des adaptations des romans de l’autrice américaine Anita Loos.
Monte-Carlo a su dès le départ cultiver son potentiel cinégénique en faisant appel aux plus grands architectes tels que Charles Garnier, à l’origine du Casino de Monte-Carlo, ou Edouard Jean Niermans, qui a signé la façade de l’Hôtel de
Paris Monte-Carlo. Des chefs-d’œuvre de style Belle Époque qui ont inspiré depuis toujours les réalisateurs et attiré les stars les plus en vue. Après le film Max à Monaco en 1913, où l’icône de cinéma muet comique Max Linder performe sur le port Hercule, le cadre enchanteur du Resort va être au cœur des années Folles avec Folies de femmes en 1922 et Le Roman d’un tricheur de Sacha Guitry en 1936, dont l’intrigue se déroule dans le temple du jeu monégasque.
La fin de la Seconde guerre mondiale et le mariage du Prince Rainier III avec l’actrice Grace Kelly marqueront le développement de l’aura de la Principauté à l’international. Pour ce premier focus, nous avons ainsi choisi trois films tournés dans les années 1950.
Parmi notre sélection nous retrouvons le film britannique Qui perd gagne sorti en 1956, un couple de jeunes
mariés – incarné par Glynis Johns et Rossano Brazzi – est pris par la fièvre du jeu à Monte-Carlo.
Photo : Dans le film britannique Qui perd gagne, sorti en 1956, un couple de jeunes mariés incarné par Glynis Johns et Rossano Brazzi est pris par la fièvre du jeu à Monte-Carlo.
Le long-métrage Les hommes épousent les brunes tourné en 1954, qui appartient à l’âge d’or du cinéma hollywoodien, nous embarque sur la place du Casino de Monte-Carlo pour retrouver la sublime Jane Russell et assister à un spectacle musical à l’Opéra Garnier. Tourné en réponse au célèbre film Les hommes préfèrent les blondes – les deux sont d’ailleurs des adaptations des romans de l’autrice américaine Anita Loos. Les hommes épousent les brunes porte à l’écran la très charismatique Jeanne Crain.
Enfin, cap sur la piscine du Monte-Carlo Beach construit par l’architecte niçois Roger Séassal, qui a gagné le Grand Prix de Rome, pour une scène des plus romantiques dans le film dramatique italien Donne Sole de Vittorio Sala tourné en 1955,
avec Gianna Maria Canale et Ettore Manni.
Photo : Film dramatique italien Donne Sole de Vittorio Sala, sorti en 1955, une scène romantique incarnée par Gianna Maria Canale et Ettore Manni à la piscine du Monte-Carlo Beach.
Explorez le septième art des décennies passées en Principauté de Monaco et plongez dans l'univers captivant de l'histoire du cinéma :
Monaco porte en elle une histoire extraordinaire qui se raconte ici en quelques dates aussi fabuleuses qu’inoubliables.
Une crêpe savoureuse, un peu de Grand Marnier, une allumette… Tout le monde connaît la crêpe Suzette. On sait moins que la recette fut inventée un peu par hasard à Monaco, au Café de Paris Monte-Carlo…
Entre élégance, raffinement et glamour, partez à la rencontre des films et séries réalisés au cœur de la Principauté de Monaco, dans les années 1990.