L'art cinématographique à Monaco dans les années 1990
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Monte-Carlo Legends

Monaco et le cinéma des années 1990 : une décennie au cœur du glamour cinématographique

Publié le Octobre 04, 2024Mis à jour le Octobre 24, 2024

L'art cinématographique à Monaco dans les années 1990 incarne une époque où glamour et créativité se mêlaient harmonieusement au cœur de la Principauté.
Au fil de cette décennie, Monaco s’est affirmé comme un véritable écrin pour le cinéma, accueillant des productions prestigieuses et des événements iconiques, dans les décors enchanteurs de nos établissements et palaces, alliant élégance intemporelle et modernité. Dans chaque film tourné à Monaco, l’essence même du luxe et du raffinement monégasque se reflète, faisant des années 90, une période marquante pour le septième art dans la Principauté.

De grands architectes qui ont influencé l'art du cinéma à Monaco

Par son architecture imaginée dès l'origine par les plus grands tels que Charles Garnier et Edouard-Jean Niermans, la Principauté a su attirer à travers les époques, les réalisatrices et réalisateurs à l'international, accompagnés de vedettes des petits et grands écrans. Une aventure qui se prolonge dans les années 1990.

Qu’il s’agisse de scènes romantiques tournées dans des salons luxueux ou de moments dramatiques, les architectures grandioses, façonnées par des maîtres continuent d’enchanter et de nourrir l’imagination des cinéastes. Dans chaque film, on retrouve l’empreinte indélébile de ces grands architectes, dont les œuvres sont autant d’hommages à la beauté et à l’audace qui font de la Principauté un lieu unique au monde.

L'art cinématographique à Monaco dans les années 1990

Une romance cinématographique au Casino de Monte-Carlo

Place donc au tournage de A ghost in Monte-Carlo, film du réalisateur britannique, John Hough, en 1990. À travers l’œil de Hough, Monaco devient bien plus qu’un simple décor : la beauté intemporelle de ses paysages, l'élégance de ses lieux mythiques et l'atmosphère unique de la Côte d'Azur sont sublimées à l'écran. Devant la façade en front de Mer du Casino de Monte-Carlo, se joue cette romance autour d'une ancienne courtisane, résolument très appréciée. Grâce à ce film, John Hough parvient à capturer l'essence même de Monaco, offrant au public une immersion totale dans la magie du cinéma et du luxe.

L'art cinématographique à Monaco dans les années 1990

La Salle Empire : L'Écrin Cinématographique des Années 1990 à Monaco

Le film français Max et Jérémie, un thriller intense et poignant, par la réalisatrice Claire Devers en 1992, réunit des acteurs emblématiques dont Christophe LambertPhilippe Noiret et Jean-Pierre Marielle, ici attablés dans l'écrin chaleureux de la Salle Empire. La Salle Empire de l'Hôtel de Paris Monte-Carlo, avec ses dorures et ses lustres étincelants, devient une scène centrale, où l'élégance et le suspense se rencontrent. Ce film plonge le spectateur dans un univers sombre, où l’élégance côtoie la brutalité. La Principauté offre un cadre fascinant pour ce récit de rivalité et de destin croisé

En 1992, Monte-Carlo Société des Bains de Mer est au cœur de la comédie italienne Ricky & Barabba du réalisateur Christian De Sica. L'histoire d'un Billionnaire au bord de la faillite, à cause des dettes qu'il a contractées pour financer une invention. Le film donne à voir à l'écran des costumes hauts en couleur, incarnant l'esprit vivifiant du cinéma comique des années 90.

L'art cinématographique à Monaco dans les années 1990

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